Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 10 ans
On parle souvent de « garçon manqué », comme on dirait « c'est une phase », avec la certitude que la femme masculine ne fait pas assez d'efforts, et qu'elle arrêtera ses bêtises pour devenir féminine, un jour.
C'est pour cela que j'ai voulu écrire cette histoire, pour vous permettre peut-être de découvrir l'ambivalence d'un garçon emprisonné dans un corps de femme.
Pour commencer, je vais faire un flashback rapide sur mon enfance afin que vous puissiez mieux cerner et comprendre la suite de cette histoire.
Depuis toujours, je n'aimais pas les robes et les jupes que ma mère voulait que je porte, j'aurais préféré un pantalon ou un short, je n'aimais pas non plus mes cheveux longs et encore moins qu'elle m'impose des couettes, moi je voulais des cheveux courts comme les autres petits garçons. Je me sentais ridicule ainsi accoutrée et mes premières crises à ce sujet eurent lieu très tôt dans mon enfance. Lorsque je suis devenue adolescente, j'ai pu m'opposer à sa vision des choses et commencer à porter des vêtements plus masculins et à raccourcir mes cheveux. Pendant toute mon enfance j'ai préféré jouer avec les garçons, les filles m'ennuyaient. Les garçons me disaient que j'étais un garçon manqué mais m'acceptaient parmi eux, comme un des leurs.
Ai-je été assez courte pour que vous continuiez à suivre ?
Vers 17 ans, j'ai commencé à éprouver le désir de fouiner un peu du côté de la sexualité qui commençait à me travailler sérieusement. Etant très amie avec un des garçons, j'ai décidé de le laisser me guider et me faire ces choses si bien décrites par mes copines car j'en avais quelques unes quand même, que je trouvais très jolies d'ailleurs. Ce fut un échec total, j'ai eu mal, il ne m'a donné aucun plaisir, hormis être parvenue à perdre mon pucelage, je n'ai rien gagné bien au contraire, je suis ressortie de cette expérience avec des sentiments plus que mitigés et une impression de presque traumatisme et de dégoût.
Quelques temps plus tard, lors d'une soirée pyjama entre copines de la fac, j'ai été très attirée par la douceur des câlins entre filles. Il n'y avait pas que le réconfort et la tendresse de marques d'affection échangées, il y avait également quelque chose de bien plus profond, une sensualité, une impression étrange dans mon bas-ventre, comme des papillons qui s'agitaient. L'une d'elle, couchée contre moi sur un canapé me caressait le bras régulièrement pendant que nous disions bêtises sur bêtises. Ce jour là, j'ai découvert que j'avais aussi envie de la caresser mais d'un naturel timide je n'ai pas osé. Mes premiers attouchements ont eu lieu avec ma colocataire lors d'une soirée trop arrosée. Prise d'une envie de m'étendre, elle m'a serrée dans ses bras avant de commencer à déposer des baisers sur mon visage.
Les baisers ont fini par glisser vers ma bouche et ses mains vers ma poitrine. Sonia ayant trouvé le déclencheur de mes plaisirs, je n'ai rien pu faire psychologiquement pour fuir ses attouchements contre nature, bien au contraire, je m'y suis abandonnée. Un demi heure plus tard, nous étions nues toutes les deux, j'étais couchée sur elle mon corps entre ses jambes écartées, nous nous lutinions généreusement en nous caressant mutuellement. Lorsqu'elle a entrepris de caresser mon sexe, j'ai eu ce soir là un blocage, c'était peut-être un peu trop rapide même si j'avais des envies de bien plus que de simple baisers . En réalité, j'y pense à présent, ce fut davantage la prise de conscience de ma féminité ce soir-là qui me bloqua. J'y reviendrai plus tard.
Et puis il y a eu Jade, une magnifique femme aux yeux bleus âgée de 35 ans, mon ex prof de piano retrouvée par hasard à la terrasse d'une brasserie. Elle m'a invitée à poursuivre la soirée chez elle sous prétexte de me présenter ses chats, des siamois très câlins d'une grande beauté en me promettant qu'elle ne me parlerait pas de solfège ni de piano. Verres après verres d'un vin blanc doux glacé puis de caresses en caresses à ses adorables chats, nous sommes passées aux caresses plus intimes. Elle a su me guider dans l'abandon en me disant de sa voix si douce de me laisser aller. Au plus elle me touchait, au plus elle lutinait de mon visage à mon cou, au plus je fondais comme neige au soleil. Quand sa main a entrepris le remonter le long des mes cuisses, je l'ai bloquée pour qu'elle n'aille pas plus loin. Et là, elle a percé ma carapace en murmurant à mon oreille entre deux coups de dents taquins que j'avais envie d'elle et envie qu'elle s'occupe de moi mais que je n'osais pas.
Elle attrapa ma main pour la plaquer entre ses jambes où j'ai découvert qu'aucun rempart de tissu ne protégeait son intimité en me murmurant de la caresser d'une voix si douce que je n'ai pu y résister puisque ce n'était pas elle qui me touchait mais moi. Quelques caresses intimes et baisers plus tard, elle offrit sa magnifique poitrine en forme de poire à mes lèvres en me demandant de mordiller ses tétons. Sous mes dents et mes caresses intimes, elle gémissait de bonheur sans retenue ni pudeur. Sentir que je la faisais vibrer donna des ailes à mes doigts qui entreprirent de fouiller son intimité en profondeur.
Ce fut une révélation pour moi. Je suis donc descendue du canapé pour m'asseoir sur le tapis et butiner les abords de son sexe glabre que je fouillais en caressant son bouton des plaisirs de ma main libre tout en déposant des baisers au creux de ses cuisses. Quand elle a guidé ma tête en me suppliant de l'embrasser "là aussi", je n'ai pas résister et me suis aventurée. Quelques minutes plus tard, elle se tordait de plaisir en me traitant de "sauvage" ou de "diabolique" puis d'autres qualificatifs du même acabit. Une fois apaisée, Jade descendit à son tour du canapé en me disant " à mon tour de te rendre heureuses". Ne me sentant pas forcée, je me suis laissée aller, ses doigts et sa bouche m'ont rendue folle de plaisir à m'en faire mordre le tapis innocent.
Ce soir là, j'ai accepté de dormir chez elle, la nuit fut orienté tendresse, collée l'une contre l'autre pour quelques baisers avant que je ne l'invite à me tourner le dos pour "l'emboîter". Ayant pour but au départ de mettre un termes aux câlins, cette position, éveilla quelque chose en moi, je donnais du bas ventre contre ses fesses en caressant ses seins tout en serrant sa tête de mon autre bras disponible. Elle devenait dans mon rêve une femme et moi un homme la pénétrant.
Le week-end de la révélation
A la suite de cette soirée nous avons décidé de nous revoir, ce qui signifiait nous retrouver pour des coquineries car Jade en éprouvait autant l'envie que moi. Le samedi soir, pendant une divin repas aux chandelles encore une fois très arrosé, Jade me tira les vers du nez et sut mettre en avant ma masculinité. Pour fêter notre rencontre, elle ouvrit une bouteille de champagne, mon péché mignon la garce ! Flûtes après flûtes, j'ai perdu toute retenue dans nos discussions, elle en a profité pour sortir un petit gode ceinture qu'elle m'a invité à mettre pour voir l'effet que cela fait. Une fois sur moi, mes mains n'arrêtaient pas de toucher ce sexe masculin de plastique certes, mais un sexe masculin posé sur mon bas ventre. Je ressentais une incroyable excitation à le trouver là, l'impression qu'on m'avait rendu ce qui me manquait. Je me sentais homme, délicieusement virile, et je la désirais plus que jamais.
Et là, quand Jade s'est mise à genoux aux pieds de la chaise pour venir le prendre dans sa bouche pour le sucer, j'ai perdu la tête. Ma main est passée derrière son cou pour qu'elle aille plus loin, pour qu'elle me donne sa bouche. Pendant qu'elle suivait mes directives phalliques, ses phalanges coquines sont passées entre mes cuisses pour se frayer un chemin vers mon intimité trempée. Elle prit ma main libre pour la guider vers mon sexe et me permettre de constater par moi-même que mon chaton ressemblait à un marais. Au moment où j'ai voulu parler, elle a posé son doigt sur sa bouche pour me faire signe de me taire. Elle a pris ma main et ma conduite à sa chambre où elle n'a pas allumé la lumière.
Jade m'a faite m'étendre sur le dos, m'a dévorée de baiser et s'est empalée sur le gode ceinture en dirigeant mes mains vers sa poitrine. Que ce soit elle qui guide cette danse de l'amour ne me convenait pas, je l'ai poussée et guidée pour qu'elle s'allonge sur le ventre et là, je suis devenue celle que je suis réellement en moi. Couchée sur elle, je l'ai défoncée à grands coups de reins. Au début je me suis un peu cherché mais cela n'a pas duré. C'est comme si j'en avais toujours eu un. Lui dévorer le cou, les oreilles, les joues tout en la baisant m'a rendue dingue de plaisir. Si bien qu'une fois qu'elle a joui, j'ai quasiment arraché le gode ceinture pour plaquer sa tête sur mon intimité en manque d'elle.
Et là, pour la première fois je me suis totalement offerte à ses doigts et à sa bouche sans aucune crainte, sans aucune retenue, j'étais le mâle conquérant demandant sa dîne à la femelle et désirant qu'elle me boive jusqu'à la lie. Le lendemain je me suis excusée de mes agissements, en guise de reproches j'ai eu droit à une pelle de mangeuse d'homme et à une seule réponse : "Recommence quand tu veux, je suis ta chose".
Ecrivaillon
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ET oui, cela existe. J'ai connu une femme qui s'habillait comme un garçon, coupait ses cheveux courts et faisait une sorte de bandage pour cacher sa poitrine. Aller à la mer pour elle était un calvaire parce qu'on voyait qu'elle était une femme. | |
La dysphorie du genre existe bel et bien mais aujourd'hui on en fait trop et cela perturbe les jeunes jusque dans nos écoles. | |
Parler de la dysphorie du genre à l'école est une aberration. Il faudrait d'abord leur apprendre à écrire et compter au lieu de les perturber ! | |
Pas faux, la fille de ma soeur lui a demandé si un jour elle pourrait être un garçon. Elle lui a demandé pourquoi et la réponse a été : pour voir ce que ça fait. A 8 ans, c'est-ce pas un peu jeune ? | |
Je pense comme vous, et pourtant nous sommes très ouverts. Le rôle de l'école est d'instruire, pas de parler de ce genre de chose. "saves mem plu ecrire le frensé" |
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